Archives de juin, 2013

Son caveau est du vitriol

Publié: juin 18, 2013 dans Uncategorized

Son cadeau est du vitriol,Image
Sa gloire est étincelante,
Sous des rameaux de fientes,
Il ne pense qu’au viol,

De sa funeste destiné,
Ensorcelle, comme un gros patté,
De tête  d’anchois épurées,
Tu crèves d’envie de t’en libérer,

Comme le chat courant après sa fuite,
Fait grise mine devant la truite,
D’eau douce il a besoin,
Pour tremper son groin,

Et trahir sa raison,
D’avoir touché le fond,
De sa discussion interminable,
Sous d’insensées macabres,

Sourissons dorés,
Il ne puits en rester,
Plus d’ empaffé,
Qui se goinfre à se péter,

La panse pleine de pensés,
Qui tournaient en rond,
Comme un petit cochon,
Qui ne serait grogner,

Sous l’ombre d’une  fée dorée,
Qui lui suggère de ne point abroger,
La soif de sa diarrhée infidèle,
Où il trouvera une pèle,

Pour creuser le trou de sa tombe,
Devant laquelle il inonde,
De pleures encastrés,
Qu’il ne pût s’en esquiver,

A remonter le fond de son pantalon,
Il ne vit point l’abîme de sa carabine,
Qui lui tira une balle, dans sa kabbale,
Et s’en fut le râle de ce dernier bal.

Nul besoin de reconnaître ton envie,Image
Si ce n’est pour trouver dans ta vie,
Une commune mesure sans abri,
Dans ton jardin lointain, tu y vis,

D’obscures montées de ton ego,
Qui dépourvu de pouvoir lance des ragots,
Qui vont plus vite qu’un escargot,
Au solstice, d’une pluie de fagots,

Ni même lui laisser le tord d’avoir raison,
Plutôt que de tondre le noir gazon,
Regarde l’alouette prendre son blason,
Qui lui murmure sa détresse à l’horizon,

Du mur de sa passion,
Elle ne put garder bon fond,
Sous la discrète girouette,
Qui se glisse sous l’estafette,

Au bord de la tempête,
De grêle, tu ne peux voir la fin,
De te profond destin,
Pire ou être !

L’argent est comme la promise

Publié: juin 13, 2013 dans Uncategorized

L’argent est comme la promise,Image
Tu ne puis y prêter foi, sans la tamise,
Du dromadaire septuagénaire,
Qui ne trouve soif sous le précaire,

Pas à toi même, la faim viendra,
Sous les dragées et les ténèbres,
Le serpent te révèlera,
Comment utiliser l’algèbre,

Pour ne plus sentir sur tes vertèbres,
Le poids de cette transformation,
Alchimique, elle te nique le fion,
Si tu n’y prêtes pas attention, la funèbre

Monnaie sacrilège, te videra de ton sang,
Pour nourrir toujours plus d’assoiffés,
Et macabres empiffrés,
De banquiers prétendants,

T’aider dans tes projets,
Pour toujours plus te pomper,
Ton essence, leur plait,
Puis viendra un jour d’été,

Où l’argent ne fera plus d’argent,
L’échange entre tous les gens,
Sera juste car au fond d’eux,
Ils seront justes et non plus peureux.

La rumeur est comme l’eau croupissante,Image
Elle ne cesse de pourrir et te hante,
Jusqu’à ce que tu ne puisses plus dormir,
Elle revient encore et encore te nuire,

Puis un beau matin pluvieux,
Tu n’y vois que du feu,
Sans plus d’envie,
Tu lui souris,

Sans savoir pourquoi,
La fin de tes tracas,
Arrive sans prêter foi,
Ni manger le repas,

De ton sacrifice scapulaire,
Tu n’y vois que la cathédrale,
Inondée de lumière,
Elle t’avale,

Puis sournoisement,
Sans prévenir,
Ni ralentir,
Tu te mens,

A toi même,
Donc à l’autre,
Qui fait de même,
Sans épeautre,

Ni farine, ni famine,
Ne suffisent à faire grise mine,
De charbon, il fait bon d’aller voir,
Dans ton grand foutoir,

La sommes d’argent que tu ne puis,
Semer avec Rantanplan, ira rejoindre,
Au tréfonds de ton puits,
Tu ne seras craindre,

Ta noirceur amincie,
Laisse apparaitre le gris,
De tout tes soucies,
Ne renvoie plus le mistigris,

Laisse le mourir sur place,
Dans la mousse tu prélasses,
Disjoncte ta mémoire,
Laisse jaillir le noir,

Et pleuvoir la lumière,
Du fin fond de ta prière,
Émouvoir ton cœur,
Et ne plus savoir par cœur.

Sous de macabres découvertes

Publié: juin 10, 2013 dans Uncategorized

Sous de macabres découvertes,Image
L’étranger trouva devant sa perte,
Une raison de ne plus avancer,
Ni même pouvoir pleurer,

Tant apeuré il était,
De ne pouvoir dire jamais,
Il se souvint de sa gloire,
D’un passé sans miroir,

Qui ne pu éclairer,
Sans le noir d’un café,
De sa triste destiné,
D’un ancien ambulancier,

Torturé de ne plus pouvoir,
Transporter dans le noir,
Un fidèle estropié,
D’une vie calibrée,

Comme une hirondelle périmée,
Il y trouvera sa nacre,
Au péril de son macre,
Dans la mare argentée,

Le doux canard doré,
Hérisse ses poiles,
Dans un tumulte d’étoiles,
Susjacentes à la jeté,

D’un bois périclité,
Respire ton envole,
Devant toutes ces folles,
Même si tu es plébiscité,

Ne tombe pas dans la cécité,
Ni même l’arrogance,
Devant tant d’outrance,
Éveille ta destiné,

A plus de sobriété,
Demande à ton phoque,
S’il peut perdre son froc,
Sinon laisse lui la bonté,

De te hisser jeuner,
Jusqu’à enfin pouvoir mourir,
De tout ce qui peut te pourrir,
Sans aucune insalubrité,

Laisses le lion rugir,
Et la crève périr,
Mort d’être mort,
Tu verras alors la vie en or.

Le fruit de l’amour est comme la pêche,Image
Qui résonne plus loin que ta lèche,
Recours à tant de stratagèmes,
Pour retrouver ta gêne,
De ne pas être toi même,
Tu te bourres de nems,

Jusqu’à vomir de tes tripes,
Il en ressortira  tes fripes,
Tout en recouvrant tes fresques,
Sans pour autant jouer l’arabesque,
Écris tant que tu peux,
Toute joie d’être vieux,

Ne puis te rendre la coupe,
Plus pleine que la soupe,
De ta grand mère Vénusienne,
Tu accours en escarpienne,
Les contours de tes hanches,
Ne pourrons point être étanches,

Si ce n’est pour mieux courir,
Devant tant d’effrois à en mourir,
Récite ton chemin, applaudis d’une main,
Laisse tomber ton Graal,
Avant de lâcher ton dernier râle,

Ramasse ta gamelle,
Avant que Gargamelle,
Ait bouffé tous les stroumpfs,
Comme un véritable pignouf,
Ils n’accueilleront plus tes joies,
Sauf si tu es le rabat-joies,

Écoute tes sornettes,
Laisse sortir le serpent à sonnette,
Réveille toi à l’heure,
Sans utiliser ton labeur,
On te garantira la foi,
Sans échanger un doigt,

Qui coupent la faim,
Sans livrer le vin,
Qui ne coule pas assez,
Pour pouvoir t’enlacer,
Sous prétexte d’un enfant,
Tu y trouveras un flan,

Bisexuel tu n’es pas,
Ni même un renégat,
Juste celui qui rêve,
D’un autre plan en crève,
Qui ne sera lâcher des mains,
Son septuple destin,

Cours mon amour cours,
A en perdre la laine pour,
Ne plus remuer ta langue,
Du serpent sous la mangue,
Elle ne puis laisser gloire,
A ta petite foire,

Et enfin mettre un terme,
A ce petite poème terne,
Qui n’arrive pas à s’arrêter,
Jusqu’où va t-il aller,
Je ne sais point,
Y mettre fin.

Sous d’infinis tracas

Publié: juin 9, 2013 dans Uncategorized

Sous d’infinis tracas,Image
La rivoiserie du renégat,
Redouble de vigilance,
Sans cesse, l’alternance,

D’un troupeau de veaux,
Que ne valent point ta peau,
Libère toi de ta nonchalance,
Sans quoi tu n’y trouveras ta balance,

Relève toi de tes cendres,
Inonde toi de l’ambre,
Tu ne puis trouver foi,
Sans lâcher ta voix,

Qui murmure ton intégrité,
Sous l’emprise de l’éternité,
Jugulée d’un morne horizon,
Le tout sans contre façon.

Le songe d’une nuit

Publié: juin 9, 2013 dans Uncategorized

Le songe d’une nuit,Image
Ne révèle pas ton ennui,
Qui pourrait pourtant,
Enlever ton sang,
Pour qui nulle guerre,
Ne puis engendrer la terre,

Nourricière elle te pousse,
A pâlir devant tant de frimousses,
Qui ne cessent de croire,
Sous l’absinthe délicate,

D’un péché sans gloire,
Tu n’y vois qu’une foire,
Aux fouilles ancestrales,
Tu trouveras la martingale,
A qui plus est, est épuisé,
Lâche l’ancre de ton regard sacré,
Et recouvre ta renarde médusée.

Sous le soleil de minuit

Publié: juin 3, 2013 dans Uncategorized

Sous le soleil de minuit,Image
Tu ne puis tenir ton parapluie,
Sauf si dorénavant,
La sirène du bois dormant,

T’appelle sous tes joutes,
Comme si tu étais un Bouc
Et misère tu ne vois,
Au plus profond de tes tracas,

Qu’une Albizia temporaire,
D’une mine patibulaire,
Reconnais les faits,
Et non les méfaits,

Absolu toi de ton destin,
Et soutiens les nains,
Dans un jardin salutaire,
Tu y trouveras ton Père.

Le martyre de vos plumes

Publié: juin 3, 2013 dans Uncategorized

Le martyre de vos plumes,Image
Résonne comme une enclume,
Toujours plus haut qu’un troubadour,
Il court moins vite qu’un gros balourd,

Et pourtant dans son chemin,
Il emmène tant de défunts,
Qu’il ne peut y conduire fin,
Au delà de ton babouin.