Le rival de l’indompté beauté,
Ne résonne pas plus haut que la clarté,
De enthousiasme non éclairé,
A la limite ratiboisé,
Qui se traine sans fin,
A la recherche d’un destin,
Que rumine ta cheminée,
Fatiguée de cracher la fumée,
De tes entrailles désabusées,
N’y trouver que des herbes desséchées,
Parmi de multiples pêchées inavouées,
La lanterne de ton chagrin,
Ne remue point de foin,
A y chercher trop ardemment,
Une couronne de safran,
Qui serait tombée au loin dans le train,
De tes soupires encombrés,
D’innombrables pincées,
De sel au sommeil obscurci,
De tous tes mistigris,
Regarde devant toi,
A l’orée de ton bois,
Si point n’est de loi,
A qui sait entendre le hautbois,
De ta vertu maline,
Tu ne puis scander la ligne,
De ton regard désappointé,
Il s’en faut de peur pour maronner.
philipperiviere 