Le parapluie de l’éternité,
Brille de tant de lumière,
Qu’il ne cesse de pleuvoir à miroiter,
Dans une lugubre symphonie où l’on espère,
Retrouver un sommeil radieux,
Qui nourrira le sol laineux,
De plus d’un Poucet d’éventail,
Où s’ouvre tes entrailles,
Pour mieux te retrouver,
Dans un cimetière doré,
Retourne toi si tu le peux,
Dorénavant, ton chemin sinueux,
Ne pourra plus te mener aux cieux,
Que pour y trouver plus de peureux,
Qui sous leurs esclaves capricieux,
Ne peuvent point rugir de leur fallacieux,
Projet qui ne mène nul part,
Comme entouré de remparts,
Veille à ton grain,
Pour ne pas en avoir un,
Repart sous la coupe,
Demande à la chaloupe,
De bien vouloir te cité la bible,
Et d’en extraire du débile,
Une vérité sans nom,
Que tu ne puis démontrer,
Comme un chapelet fou,
Tu n’y vois que du flou,
Abstraite abîme,
Laisse pointer ta cime,
Redescend ton chemin,
Sans rater le train,
Et tu verra s’établir,
Au point de ta mire,
Une paix ancestrale,
D’un évêque bancale,
Éclaire ta voie,
Au tréfonds de ton pas,
Évite la scie,
Et reviens nous ici.