Partir légère, le cœur en soupière, sous ton étagère,
Tu n’as pas oublié ton père solitaire,
Marche devant toi, ne t’arrête pas, pieds nues,
Une valise de la main droite, tu glaces le sang à grande hâte,
Sans négliger ton destin, d’unir tes seins sous la coupole dorée,
Tu y retrouves la vacuité.
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