Murir sans s’emmurer, tel un murmure qui souffle le long de ta colonne d’or sale,
Respire mon enfant, sous le feu de ton divan, glace ton sang, emporte le cardan,
Rumine le foin, sans y tordre la main, d’une paix sans visage, tu découvres le sage.
Faire un choix, sans se dénaturer,
Exclure de son passé sans y trépasser,
Découvrir le fruit de son envie,
Le gouter sans se dévoiler,
Sentir le dégout, d’avoir perdu son gout,
Revenir en face et à sa place,
Fondre au fourneau sans y voir plus haut,
Dégager le fond sans y morfondre le plumeau,
Et retirer de son chapeau le lapin blanc de l’échafaud.
Sous un esprit incertain tu calmes ton chemin,
Sans pitié pour ta foi, tu sonnes le renégat,
Sous une pilule dorée, tu découvres ta destinée,
Sans pour autant y voir, un désespoir le long de ton territoire,
Sous un capitole de féroces guerriers,
D’une peur féconde et arriérée,
Tu jartes ta foi à l’unisson d’un passé dépassé.
Accueillir le ciel pour y déployer ses ailes,
Et décoller à l’horizon,
Sous d’obscures raisons,
Tu ne vois ton destin,
Qu’à travers des nains,
Sème le vent et récolte le malin,
Ni gloire ni perte, ne peux atteindre ta foi,
Sous l’enfer du renégat,
Ta fin est proche mon enfant,
Pour y retrouver ton penchant.
Essuyer ses larmes plutôt que d’en disposer pour les autres
Sous les tropiques de ton ennuie, tu marches à reculons
L’espoir d’une saison, tu couvres ta peau de tes cheveux longs
Sans y voir dans le noir, tu respires le désespoir
Courbé sur ta route, tu dévisages le passant
Et inspire à plein poumon l’essence de ta vie sans moribond.
La nuit noire taraude ton enfance dorée,
Glace le sang de ta vertu perdue et méritée,
Que ta volonté soit faite,
Sous l’emprise de ta défaite
N’imagine pas le noire, comme une odeur de désespoir,
Mais vois y ton cœur, demandant au porteur de lumière,
D’y voir plus clair et de mettre fin à la fourragère.
Ni gloire et frêles espoirs, tu ne peux obtenir du noir,
Une capacité de refendre ton désespoir,
Accepte la tonte de ton mouton,
Plutôt que de les compter comme un con.
Sous un arbre perché,
Tu récoltas le fruit de ta vertu cachée,
Ni même affaiblie ou diminuée,
Sous l’encombre de ta destiné,
Tu ouvres le frigo de tes entrailles,
Allumées par le feu sacré,
Distingue ton dragon effarouché,
Sans pour autant pleurer.
Tu ne peux voir ta capacité,
A trouver ta fée,
Sous ta tête dévorée,
Nul ne peut t’aider.
La glace de ta mouche,
Respire devant ta bouche,
L’aiguille de ta roche,
N’aiguise pas ta cloche.
Sans supporter le duvet de tes reins,
Tu claques le sang de tes mains,
Arrache la vertu éperdue,
Sinon tu seras pendue.